Le traitement des données au sein d’une arborescence s’effectuait depuis le début des années 90 en appliquant le concept de l’EDI (échange de données informatisé).
Les mutuelles des assurances l’ont implémenté dans leur réseau D’ARVA pour la gestion de sinistre automobile.
Aux Etats Unis ce traitement s’effectuait en appliquant le concept SGML (Standard Generalized Markup langage). Parmi les pionniers de sa mise en œuvre on peut citer le département de l’énergie.

En tant que consultant chez Software AG France j’ai participé aux équipes EDI et SGML et j’ai proposé en 1994 le concept EDI-SGML.
J’ai dû attendre 1996 pour sa validation internationale à Boston. Etant donné qu’il n’y a pas de protection pour un nouveau concept, j’ai cherché le financement nécessaire pour créer le produit EDIAUDIT en associant un 2ème concept, le traitement sémantique des données appartenant à une arborescence que j’ai appliqué pour le compte de D’ARVA pour l’IARD.

Depuis les années 2000 j’ai essayé d’associer un 3ème concept que je considère comme la représentation optimale de l’organisation moderne de l’entreprise : ce concept est le « scénario » sujet de mon 1er compte rendu du 10 avril 2006 suite à une réunion de travail avec les AGF.

L’outil dont le 1er prototype est sur le point d’être achevé et qui fait parti de l’offre EDIAUDIT pour les AGF est compatible avec une architecture ouverte de leur entreprise : Notre offre traite aujourd’hui le dossier corporel, mais elle peut s’étendre sans changer d’outil de travail et d’exploitation au dossier sinistre automobile ou tout autre dossier dans différents domaines de l’assurance. L’outil que j’ai présenté aux AGF le 7 décembre 2006 réunit aussi bien le conceptuel que l’opérationnel.